> La croissance américaine fait mieux que prévu au quatrième trimestre 2013
L’économie américaine poursuit son expansion. Au quatrième trimestre 2013, le PIB du pays a augmenter de 3,2 % en rythme annuel, selon la première estimation du département du commerce publiée jeudi 30 janvier. Sur l’ensemble de l’année 2013, la croissance aux Etats-Unis a atteint 1,9 %. Une performance inférieure à celle de 2012, année au cours de laquelle elle avait progressé de 2,8 %.
Mais, plus important, l’économie américaine est clairement en phase d’accélération : depuis deux trimestres, le PIB dépasse largement les 3 %, après un premier semestre décevant (la croissance était de 1,1 % au premier trimestre et de 2,5 % au deuxième).
Les moteurs de la croissance américaine :
La consommation, qui compte pour 70 % de l’activité économique aux Etats-Unis, a progressé de 3,3 %. Il s’agit de la meilleure progression depuis trois ans. Les achats des ménages ont contribué à 2,3 points de croissance, ce qui n’était jamais arrivé depuis 1984.
Les investissements des entreprises ont aussi beaucoup contribué, en progressant de 3,8 %. Un rythme élevé, même s’il est un peu inférieur à celui du troisième trimestre (4,8 %). Les stocks des entreprises qui avaient constitué la moitié de la progression du PIB au troisième trimestre, progressent toujours, mais à un rythme bien moindre : ils n'ajoutent plus que 0,42 point de pourcentage à la croissance contre 1,67 au trimestre précédent.
Le commerce extérieur a aussi été aidé, même s'il a diminué de 370,1 milliards de dollars, grâce à la progression plus rapide des exportations par rapport aux importations. Ce poste a contribué pour 1,3 point au PIB du quatrième trimestre, soit la meilleure contribution depuis le deuxième trimestre 2009.
Les freins à la croissance ?
La baisse des dépenses fédérales, ont chuté entre octobre et décembre 2013, à un rythme de 4,9 %, on permit à la croissance du PIB d’ajouter 0,9 point.
Le « shutdown », la fermeture des services fédéraux pendant la première quinzaine d'octobre à cause du bras de fer entre le Congrès et la Maison Blanche sur le budget, a coûté 0,3 point de croissance à l’économie américaine sur le quatrième trimestre, estime le département du commerce. « L'impact total du ''shutdown'' ne peut être quantifié car certaines données ne peuvent être évaluées séparément », note le ministère ajoutant toutefois que « l'effet de la diminution des heures travaillées (...) a réduit la croissance du PIB d'environ 0,3 point de pourcentage au quatrième trimestre ».
Autre frein à la croissance : les constructions résidentielles, qui ont été handicapées par une météo peu clémente. Leur baisse de 9,8 % en rythme annualisé a coûté 0,3 point au PIB du quatrième trimestre.
> Téhéran veut relancer son économie, mise à genoux par les sanctions internationales. Mais la route reste longue et semée d'embûches.
Le 24 novembre dernier à Genève, John Kerry, le secrétaire d'Etat américain, et Mohammad Javad Zarif, le ministre iranien des Affaires étrangères, se se rraient la main.
Une première après trente-cinq ans de diabolisation mutuelle.
Ce geste fort a été rendu possible par la conclusion d'un premier accord entre l'Iran et les cinq pays du Conseil de sécurité de l'ONU plus l'Allemagne.
Ce texte prévoit un gel de son programme nucléaire militaire en échange d'une levée partielle des sanctions qui pèsent sur son économie, en attendant la poursuite des négociations en juin.
Cette action marque peut ètre le début d’une ère de relation diplomatique entre Téhéran et Washington.
> Nuit de violences entre policiers et manifestants à la Réunion
Des incidents opposant des groupes de jeunes aux forces de l’ordre ont éclaté dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 31 janvier à la Réunion, au Port et au Chaudron à Saint-Denis. Pendant l’incident un commerce a été pillé et des véhicules incendiés.
Au Port (ouest de l’île), les incidents se sont produits dans la foulée des manifestations des collégiens et lycéens ayant entraîné dans l’après-midi l’intervention de la police pour lever des barrages routiers, installés par des jeunes, aux abords d’un lycée. Le commissariat du Port a toutefois refusé de faire de relation entre le mouvement des élèves dénonçant la chaleur dans les salles de cours et les violences de la nuit.
Pendant une bonne partie de la nuit, les policiers de la Compagnie départementale d’intervention ont fait usage de grenades lacrymogènes pour disperser des petits groupes de jeunes qui avaient installé plusieurs barrages, à l’aide de poubelles incendiées et de pierres. Dans le quartier de la Rivière des Galets, une soixantaine de jeunes ont arrêté un camion chargé du marquage de la chaussée et y ont mis le feu. Ils ont également tenté de piller des commerces. Deux jeunes ont été interpellés.
> Enquête sur les « boomerang kids », ces adultes contraints de retourner chez leurs parents.
Pour ses collègues de bureau, elle vit avec un compagnon dans un pavillon de banlieue parisienne. En réalité, Catherine occupe une chambre de quelques mètres carrés dans l'appartement de son père de 72 ans. A 47 ans, cette infirmière en entreprise a retrouvé depuis six mois le cocon familial après une séparation. « Personne n'est au courant, car j'ai honte d'en être là à mon âge », confie-t-elle.
On connaissait les « Tanguy », ces adolescents devenus adultes qui peinent à quitter papa et maman, on découvre maintenant ceux qui, à la quarantaine et plus, retournent chez leurs parents, après avoir vécu des coups durs.
La flambée des prix de l'immobilier, la fréquence des ruptures professionnelles ou personnelles, l'envolée des boulots précaires ont fait se développer dans les villes cette cohabitation tardive et souvent subie qui, jusque-là, se cantonnait au milieu rural. Loin de l'image du grand fils ou de la fille restés auprès des parents pour aider à la ferme, ces « boomerang kids » (enfants boomerang), comme les appellent les Anglo-Saxons, avec rides et parfois cheveux blancs, sont de plus en plus nombreux à reprendre le chemin de la maison familiale, après des années d'indépendance. En 2013 ces « boomerang kids » sont maintenant prés de 280 000.
Source : Le monde .
> Comment des antibiotiques à haut risque sont autorisés dans les élevages américains.
L’économie américaine poursuit son expansion. Au quatrième trimestre 2013, le PIB du pays a augmenter de 3,2 % en rythme annuel, selon la première estimation du département du commerce publiée jeudi 30 janvier. Sur l’ensemble de l’année 2013, la croissance aux Etats-Unis a atteint 1,9 %. Une performance inférieure à celle de 2012, année au cours de laquelle elle avait progressé de 2,8 %.
Mais, plus important, l’économie américaine est clairement en phase d’accélération : depuis deux trimestres, le PIB dépasse largement les 3 %, après un premier semestre décevant (la croissance était de 1,1 % au premier trimestre et de 2,5 % au deuxième).
Les moteurs de la croissance américaine :
La consommation, qui compte pour 70 % de l’activité économique aux Etats-Unis, a progressé de 3,3 %. Il s’agit de la meilleure progression depuis trois ans. Les achats des ménages ont contribué à 2,3 points de croissance, ce qui n’était jamais arrivé depuis 1984.
Les investissements des entreprises ont aussi beaucoup contribué, en progressant de 3,8 %. Un rythme élevé, même s’il est un peu inférieur à celui du troisième trimestre (4,8 %). Les stocks des entreprises qui avaient constitué la moitié de la progression du PIB au troisième trimestre, progressent toujours, mais à un rythme bien moindre : ils n'ajoutent plus que 0,42 point de pourcentage à la croissance contre 1,67 au trimestre précédent.
Le commerce extérieur a aussi été aidé, même s'il a diminué de 370,1 milliards de dollars, grâce à la progression plus rapide des exportations par rapport aux importations. Ce poste a contribué pour 1,3 point au PIB du quatrième trimestre, soit la meilleure contribution depuis le deuxième trimestre 2009.
Les freins à la croissance ?
La baisse des dépenses fédérales, ont chuté entre octobre et décembre 2013, à un rythme de 4,9 %, on permit à la croissance du PIB d’ajouter 0,9 point.
Le « shutdown », la fermeture des services fédéraux pendant la première quinzaine d'octobre à cause du bras de fer entre le Congrès et la Maison Blanche sur le budget, a coûté 0,3 point de croissance à l’économie américaine sur le quatrième trimestre, estime le département du commerce. « L'impact total du ''shutdown'' ne peut être quantifié car certaines données ne peuvent être évaluées séparément », note le ministère ajoutant toutefois que « l'effet de la diminution des heures travaillées (...) a réduit la croissance du PIB d'environ 0,3 point de pourcentage au quatrième trimestre ».
Autre frein à la croissance : les constructions résidentielles, qui ont été handicapées par une météo peu clémente. Leur baisse de 9,8 % en rythme annualisé a coûté 0,3 point au PIB du quatrième trimestre.
> Téhéran veut relancer son économie, mise à genoux par les sanctions internationales. Mais la route reste longue et semée d'embûches.
Le 24 novembre dernier à Genève, John Kerry, le secrétaire d'Etat américain, et Mohammad Javad Zarif, le ministre iranien des Affaires étrangères, se se rraient la main.
Une première après trente-cinq ans de diabolisation mutuelle.
Ce geste fort a été rendu possible par la conclusion d'un premier accord entre l'Iran et les cinq pays du Conseil de sécurité de l'ONU plus l'Allemagne.
Ce texte prévoit un gel de son programme nucléaire militaire en échange d'une levée partielle des sanctions qui pèsent sur son économie, en attendant la poursuite des négociations en juin.
Cette action marque peut ètre le début d’une ère de relation diplomatique entre Téhéran et Washington.
> Nuit de violences entre policiers et manifestants à la Réunion
Des incidents opposant des groupes de jeunes aux forces de l’ordre ont éclaté dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 31 janvier à la Réunion, au Port et au Chaudron à Saint-Denis. Pendant l’incident un commerce a été pillé et des véhicules incendiés.
Au Port (ouest de l’île), les incidents se sont produits dans la foulée des manifestations des collégiens et lycéens ayant entraîné dans l’après-midi l’intervention de la police pour lever des barrages routiers, installés par des jeunes, aux abords d’un lycée. Le commissariat du Port a toutefois refusé de faire de relation entre le mouvement des élèves dénonçant la chaleur dans les salles de cours et les violences de la nuit.
Pendant une bonne partie de la nuit, les policiers de la Compagnie départementale d’intervention ont fait usage de grenades lacrymogènes pour disperser des petits groupes de jeunes qui avaient installé plusieurs barrages, à l’aide de poubelles incendiées et de pierres. Dans le quartier de la Rivière des Galets, une soixantaine de jeunes ont arrêté un camion chargé du marquage de la chaussée et y ont mis le feu. Ils ont également tenté de piller des commerces. Deux jeunes ont été interpellés.
Pour ses collègues de bureau, elle vit avec un compagnon dans un pavillon de banlieue parisienne. En réalité, Catherine occupe une chambre de quelques mètres carrés dans l'appartement de son père de 72 ans. A 47 ans, cette infirmière en entreprise a retrouvé depuis six mois le cocon familial après une séparation. « Personne n'est au courant, car j'ai honte d'en être là à mon âge », confie-t-elle.
On connaissait les « Tanguy », ces adolescents devenus adultes qui peinent à quitter papa et maman, on découvre maintenant ceux qui, à la quarantaine et plus, retournent chez leurs parents, après avoir vécu des coups durs.
La flambée des prix de l'immobilier, la fréquence des ruptures professionnelles ou personnelles, l'envolée des boulots précaires ont fait se développer dans les villes cette cohabitation tardive et souvent subie qui, jusque-là, se cantonnait au milieu rural. Loin de l'image du grand fils ou de la fille restés auprès des parents pour aider à la ferme, ces « boomerang kids » (enfants boomerang), comme les appellent les Anglo-Saxons, avec rides et parfois cheveux blancs, sont de plus en plus nombreux à reprendre le chemin de la maison familiale, après des années d'indépendance. En 2013 ces « boomerang kids » sont maintenant prés de 280 000.
Source : Le monde .
> Comment des antibiotiques à haut risque sont autorisés dans les élevages américains.
Ce sont des documents secrets qui lèvent un peu plus le voile sur le recours, excessif et souvent incontrôlé, aux médicaments dans les élevages. Aux Etats-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) a ainsi maintenu l'autorisation de plusieurs dizaines d'antibiotiques dans l'alimentation du bétail américain, même après avoir découvert « les risques élevés » qu'ils représentaient pour la santé humaine.
L'ONG a ainsi découvert que, pendant près de dix ans, de 2001 à 2010, la FDA a réexaminé la sécurité de trente additifs alimentaires à base d'antibiotiques appartenant aux familles des pénicillines et des tétracyclines. Ces molécules, pour certaines autorisées depuis les années 1950, ont été administrées au bétail pour des usages non thérapeutiques, c'est-à-dire pour prévenir des maladies mais surtout pour stimuler la croissance des animaux, une pratique interdite depuis 2006 en Europe.
Résultat : dix-huit des additifs étudiés entraînent un « risque élevé » d'exposer les humains à des bactéries résistantes aux antibiotiques par le biais de la chaîne alimentaire , en particulier de la consommation de viande, mais aussi par des contacts directs avec les animaux ou par la dispersion de ces pathogènes dans l'environnement. Partout des bactéries infectieuses parviennent à s'adapter, à un rythme de plus en plus soutenu, à de nouveaux traitements ou à de nouveaux milieux.
Aux Etats-Unis, 70 % des antibiotiques vendus sont destinés aux élevages. Conséquence de cette utilisation massive : deux millions d'Américains tombent malades chaque année et 23 000 meurent en raison d'infections liées à des bactéries résistantes aux antibiotiques telles que les staphylocoques dorés et les salmonelles, selon des statistiques publiées en septembre 2013 par le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies. De nouvelles résistances apparaissent régulièrement, au point qu'il pourrait être bientôt difficile de traiter efficacement certaines pathologies courantes.
> Toujours 19 millions de chômeurs en zone euro.
Le chômage en zone euro a stagné entre novembre et décembre à 12%, selon les chiffres publiés ce vendredi. On peut constater qu’en un an, la zone euro compte 130.000 chômeurs de plus. En France, le nombre de demandeurs d’emploi a encore augmenté en décembre de 0.3 % au mois de décembre, soit 10.200 chômeurs supplémentaires, pour un total de 3.3 millions. Parmi les Etats membres, le taux de chômage le plus faible a été enregistré en Autriche (4.9%) suivie de l’Allemagne (5.1%) et du Luxembourg (6.2%).
Le taux le plus élevé était celui de la Grèce : il atteint 27.8% selon les dernières estimations.
> La Poste : une femme se suicide sur son lieu de travail.
Drame hier en Seine-Saint-Denis. Une femme, cadre supérieure de Coliposte, s'est suicidée par pendaison, hier, sur son lieu de travail à Noisy-le-Grand." C'est avec une profonde émotion que la Poste a appris hier le décès brutal d'une collaboratrice, cadre de son activité colis" indique le groupe. Et d'ajouter : "La Poste a immédiatement pris contact avec sa famille, établi un dispositif d'écoute et de soutien psychologique auprès de ses collègues et s'est mise à la disposition des autorités policières. "Un CHSCT extraordinaire se tient actuellement", a ajouté l'entreprise.La femme, quinquagénaire, a été retrouvée pendue dans une partie non occupée du bâtiment.Thierry Roux, responsable syndical FO chez Coliposte a indiqué à l'AFP que le moment précis où a eu lieu le drame reste inconnu, car la cadre "a été vue à son travail mercredi soir, donc a priori c'est entre mercredi soir et jeudi après-midi, où on a retrouvé le corps".Selon le syndicaliste, outre le CHSCT extraordinaire qui était en cours vendredi matin, une enquête de police a aussi été lancée.
> Auchan supprimera 300 postes d'ici à 2016.
Auchan a annoncé, vendredi 31 janvier, la suppression d'environ 300 postes pour la période 2014-2016, confirmant des informations syndicales publiées la veille à l'issue d'un comité central d'entreprise.
Dans le cadre d'un « plan de modernisation » lié aux transformations de ses métiers en magasin, le groupe prévoit « une diminution des effectifs de l'encadrement en magasin d'environ 800 postes », et « la création d'un minimum de 500 postes supplémentaires d'employés libre-service ».
«C’est plutôt choquant que l’entreprise bénéficie d’autant d’argent et supprime en même temps des emplois, dénonce Guy Laplatine dans Libération. Certes, le groupe a perdu des parts de marché en France l’année dernière, mais il reste rentable.»
Sur les six premiers mois de 2013, Auchan avait enregistré un bénéfice net de 317 millions d'euros, en hausse de 33,7 %, soutenu en partie par des plus-values de cessions. La France, principal marché du groupe, avait enregistré un recul de 0,9 % de ses ventes. Les résultats pour l'année 2013 seront communiqués en mars.
> Pour Facebook, l’offensive sur le mobile ne fait que commencer.
C'est le chiffre marquant des résultats financiers publiés mercredi 29 janvier par Facebook : les revenus générés sur les supports mobiles représentent désormais 53% du chiffre d'affaires publicitaire du réseau social, dont le nombre d'utilisateurs actifs atteint désormais 1,23 milliard. Cela représente 1,24 milliard de dollars.
La performance est impressionnante: il y a un an et demi, les recettes sur mobiles étaient quasiment nulles ! Et les investisseurs commençaient à s'inquiéter, entraînant une chute de l'action peu après son arrivée sur le Nasdaq. Mais en à peine six trimestres, Facebook a renversé la tendance. Mieux, il peut désormais rendre jaloux ses concurrents de la Silicon Valley, comme Google.
« Nos solutions publicitaires sur mobiles sont parmi les meilleures, si ce n’est les meilleures», assurait l'an dernier Sheryl Sandberg, la directrice opérationnelle de Facebook. L’un des nouveaux produits les plus plébiscités par les annonceurs est la promotion d’applications sur les fils d’actualité des membres, les redirigeant directement vers les magasins virtuels. “Ce marché croit très rapidement”, indiquait la dirigeante.
Facebook a surtout tiré les fruits de sa stratégie faisant du mobile la priorité, mise en place durant l'été 2012. L'enjeu était de doper l'audience sur smartphones et tablettes, de plus en plus utilisés au détriment des PC. De nouvelles applications performantes lui ont permis de rattraper le retard précédemment accumulé. Aujourd'hui, 945 millions de personnes se connectent chaque mois sur ces terminaux.
> Suicide d’un salarié de Renault.
Un salarié de Renault s’est suicidé ,dans son usine, mercredi 29 Janvier en Seine-Maritime. « C’est le deuxième suicide en neuf mois sur ce site » a déclaré Pascal Le Manach, délégué syndical CGT à Renault-Cléon. Ce dernier n’a pas voulu donner davantage d’informations et la direction de Renault-Cléon n’a pas voulu s’exprimer sur le drame.
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